Wednesday, December 2, 2009

Pour The Wall Street Journal, l'arrêt est la maladie chronique de l'Espagne

The Wall Street Journal, aussi comme ils faisaient déjà The Economist et Bloomberg la semaine passée, il consacre un article à réviser la situation de l'Espagne avec adjectifs peu de benevolentes. Le chevet propriété de Rupert Murdoch affirme que l'arrêt est une “maladie chronique” dans le pays et que les Espagnols se sont habitués d'elle.

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Irwin Stelzer, l'auteur de l'article et un économiste reconnu et membre de l'Hudson Institute, identifie l'explosion de la bulle immobilière, qui “a frappé l'Espagne avec plus de force qu'à aucun autre pays européen“, comme l'origine de l'actuelle situation dont maintenant il traverse l'active population espagnole.

De plus, il se rappelle que la taxe d'arrêt se situe à 19,3 % - conformément aux dernières données publiées par le bureau de statistiques Eurostat communautaire - et elle se dirige vers 20 %. De plus, selon l'expert, tout pointe à que ne va pas revertir la tendance l'hausse dans pour l'instant pour quelques motifs.

Pour commencer, Seltzer défend l'idée de ce que les Espagnols “se sont habitués” à vivre avec des taxes très élevées d'arrêt : entre 1884 et 1998 il s'est situé entre 16 % et 23 %, et dans les 30 dernières années il n'a pas baissé de 9 % en aucun moment. Pour ce motif, il affirme que les Espagnols ont l'impression de ce qu'il s'agit d'une “condition naturelle” et cite Jaime García-Legaz, secrétaire général de Faes, qui affirme que “beaucoup de gens ont l'impression de ce que le chômage est comme une pandémie espagnole”.

De plus il pense qu'un autre facteur qu'il aide à qu'en Espagne est acceptée la destruction d'emploi destituée avec “un relatif calme” est le système de prestations sociales. Les allocations élevées que les Espagnols timides reçoivent, “entre 80 et 90 % des derniers salaires pendant deux ans”, il fait qu'ils repoussent “presque toute offre d'emploi”.

Dans ce point, l'économiste tombe sur un nouveau problème sur lequel un écho a été déjà fait depuis de diverses institutions. Combien de plus de temps une personne reste dans les listes d'INEM, moins attractif ce sera pour l'entreprise que, de plus, on verra freinée par le prix élevé que du licenciement en Espagne que l'auteur de l'article situe entre 30 et 45 jours par l'année fatiguée - qui correspondent aux contrats indéfinis-.

Enfin, Seltzer pointe à l'économie enfoncée, qui apporte des revenus extra et freine encore plus les Espagnols sans le travail à abandonner sa condition d'arrêtés.

Une image CC de DoctorWho

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