Friday, November 20, 2009

Je change dans la banque Centrale Européenne

Comme il était commenté hier entre les cercles diplomatiques de l'UE, sa candidature présentera l'Allemagne à la présidence de la banque Centrale Européenne en échange de renoncer à son intérêt dans les nouveaux droits de Président et responsable de Politique extérieure de l'UE.

un euro

Pendant ce temps, les autorités européennes n'écartent pas que le dîner à l'occasion du sommet de leaders de l'UE qui a lieu aujourd'hui, dans laquel les deux nouvelles nominations pourraient être faites connaître, se prolonge jusqu'à bien rentrée l'aube faute d'un accord entre vingt-sept.

Une vingtaine de noms ont été battus pour les deux postes, bien que le Premier ministre belge Herman Van Rompuy, soit devenu le candidat de consensus pour assumer la présidence. En revanche, pour le premier poste de la diplomatie européenne il n'y a pas de clair favori.

Bien que l'Allemagne, le plus grand état de l'UE, n'ait présenté aucun candidat, lundi, elles ont attiré l'attention, les déclarations de Wer-ner Hoyer, secrétaire de l'État de Sujets Européens en Allemagne, qui a établi un lien entre les deux postes et la présidence du BCE. “Quand tout cela aura été résolu, il y aura d'autres postes pour couvrir et l'Allemagne devrait être dans le lieu qui correspond lui”, a-t-il assuré.

La présidence du BCE restera vacante en novembre 2011, quand le français Jean-Claude Trichet se retirera après huit ans dans la charge. L'Allemagne n'a jamais occupé le poste, malgré son importance dans l'élaboration des politiques de l'eurozone. Une haute charge publique allemande précisait hier qu'Hoyer n'avait pas mentionné d'une forme explicite au BCE. “Ce qu'il a dit consiste en ce que le Traité de Lisbonne avait créé les nouveaux droits qui ne se sont pas pas seulement couverts encore, celui de président et de grand représentant de l'UE, et en ce que ces deux avaient à se couvrir”, a-t-il fait une déclaration.

Selon l'opinion des annalistes du secteur privé, il ne semble pas probable qu'il aille y avoir un élément de compensation entre les trois postes, bien que la chancelière allemande, Angela Merkel, semble intéressée dans qu'il est le président du Bundesbank, Axel Weber, qui occupe la présidence du BCE. Il est probable que Weber s'affronte à la candidature de Mario Draghi, gouverneur de la banque de l'Italie et de président du Comité de Stabilité Financière.

Un autre obstacle possible est en France, qui est sûre que l'Allemagne a déjà obtenu une compensation importante quand les gouvernements de l'UE se sont mis d'accord dans les années quatre-vingt-dix pour établir le siège central du BCE dans Frankfurt. Le débat sur les nominations se concentre pour atteindre en partie un équilibre entre les pays de tous les coins de l'Europe et pour nommer un candidat de centre droite pour les Rapports internationaux si le Président élu se trouve d'un centre gauche.

Une image CC d'Ivan Walsh

Related posts :

  1. Ils nationaliseront la banque de la Venezuela
  2. Le changement climatique occasionne des pertes millionnaires
  3. La Banque européenne d'investissement appuie l'Espagne

No comments:

Post a Comment