Monday, November 9, 2009

Metrovacesa et la gestion de sa dette

Le BBVA a communiqué à la Commission Nationale du Marché des valeurs (CNMV) que l'opération dans laquelle il a bougé 7,9 millions d'actions de Metrovacesa à une valeur moyenne de 45 euros par action, le double du prix de marché, est seulement une cession depuis sa filiale Il loge BBVA, “sans que la transmission précitée n'ait impliqué effet patrimonial aucun“.

Une image de wikimedia commons

Ce prix suppose plus du double du prix final d'hier, de 20,98 euros. Quand BBVA est entré dans le capital de l'agence immobilière, il l'a fait à un prix de 45 euros par action. De cette façon, la banque a confirmée à travers de la CNMV qui s'est limitée à transpercer le contrôle de cette participation “d'Anida Operaciones Singuliers (une filiale 100 % de BBVA) à BBVA”.

Cependant, sur les marchés financiers on spécule sur la possibilité dont puediera y avoir un investisseur des Émirats arabes pourrait être intéressé à acquérir, avec droits de surface de propriétés déterminées du groupe, un pourcentage accionarial significatif de l'agence immobilière.

Metrovacesa, qu'après la sortie de Román Sanahuja de la présidence et la remise de ses actions à ses banques créancières en échange d'une annulation de dette, est contrôlée depuis des principes d'année par un groupe de sociétés financières, composé fondamentalement par Santander, Banesto, BBVA, la Boîte Madrid, Sabadell et Populaire, en faisant une addition entre tous 65 % du capital de l'entreprise immobilière.


Actuellement, et après avoir complété un processus de refonte interne, Metrovacesa se trouve immergé dans un processus de refinancement de sa dette aux banques créancières corporatives, été à la tête par Barclays et Royal Bank of Scotland, en se situant la dette du groupe au-dessus des 6.000 millions d'euros après la secousse qui pour la compagnie a supposé la crise immobilière espagnole

Related posts :

  1. Felipe González critique la gestion économique de Cordonnier
  2. L'Euribor recommence à monter
  3. Le BBVA change son concept de semelle

No comments:

Post a Comment