Comme indique l'Eurobaromètre sur la Pauvreté et l'Exclusion sociale Les Espagnols sont les Européens avec plus de difficultés d'obtenir une hypothèque. L'Exécutif communautaire élabore ce rapport à partir des consultations à 27.000 citadins européens réalisées entre des fins d'août et une milieu de septembre.
La majorité (90 %) des Espagnols consultés au sujet de l'accessibilité à une hypothèque affirment qu'il est "difficile" d'accéder à ce type de crédits, tandis que seulement 6 % considèrent que “il n'est pas difficile”, la proportion très lointaine de 74 % de finlandais qui disent ne pas avoir de problèmes pour obtenir une hypothèque. De plus, en Espagne, il se rend aussi, le plus grand pourcentage de l'UE de citadins qui ont “les difficultés“ d'accéder à d'autres prêts bancaires (78 %) et d'obtenir une carte de crédit (55 %).
D'autre part, le 2010 a été déclaré par l'UE comme Année Européenne de Lutte contre la pauvreté. Dans ce contexte, l'Eurobaromètre nous présente une situation dans laquelle 73 % des Européens considèrent que la pauvreté est une situation est généralisée dans son pays. En Espagne, cette perception sociale de la pauvreté est de 66 %, en se situant en dessous du bas européen. Les trois pays dans ses citadins considèrent qu'existe plus une pauvreté sont l'Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie, avec plus de 90 % des sondés qui pensent cela. Au contraire, au Danemark (31 %), en Chypre (34 %) et en Suède (37 %) ses citadins considèrent la situation la bien meilleure.
Pour déterminer le concept de pauvreté, l'UE situe le seuil 60 % du salaire minimum de chaque pays. Ainsi, cette situation touche 16 % de la population de l'UE c'est-à-dire environ 80 millions de citadins. Cependant, seulement 12 % des Européens consultés considèrent "difficile" arriver afin d'un mois. Mais oui, 56 % le considèrent d'une difficulté "intermédiaire", avec ce que le pourcentage pourrait être agrandi. D'autre part, 30 %, il considère "facile" arriver afin d'un mois.
Les raisons principales qui pour les Européens expliquent la pauvreté sont le chômage excessif (52 %), les salaires trop bas (49 %), l'insuffisance des aides sociales et des pensions (29 %) et le prix excessif du logement (26 %).
En ce qui concerne les responsables, pour 53 % des citadins consultés le Gouvernement national est le responsable principal de la réduction de la pauvreté, suivi des propres citadins (13 %), de l'Union Européenne (9 %), et des autorités régionales et locales et finalement des ONG et d'organisations charitables, des deux avec 7 %.
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