La situation financière en Espagne ne passe pas par son meilleur moment. Pour maintenir le niveau de dépense porté jusqu'à présent les agents économiques ont eu à recourir à un endettement excessif. Ainsi, les familles ont une dette de 904.614 millions, composée surtout par des hypothèques, bien que les crédits à la consommation supposent aussi une partie importante.
De sa part, les entreprises doivent plus de 1,3 milliards, et le secteur public 450.000 millions. Ce montant s'élève conjointement aux 2,7 milliards et suppose 250 % du PIB espagnol. De plus, le déficit public pourrait finir l'année en surpassant 12 % du Produit intérieur brut, comme a affirmé le Fonds monétaire international. C'est encadré dans une situation européenne en laquelle les critères du Maastrichtien assumés par l'Espagne obligent à ne pas surpasser 3 %.
D'autre part, les entreprises ont vu ses bénéfices réduits et ils ont eu à réduire ses marges et chercher une liquidité à presque tout prix. De cette façon ils doivent plus de 1,3 milliards d'euros. Seulement les opérations immobilières il surpasse le milliard d'euros (60 pour cent correspond aux familles et à 40 pour cent à des opérations immobilières encore impayées). Selon les dernières données, la valeur des opérations immobilières impayées surpasse les 470.000 millions d'euros, ce qui suppose une augmentation de ces crédits dès 2003 jusqu'à une milieu de 2009 de 47 pour cent. Cela implique que les entreprises ont une grande proportion d'une dette en ce qui concerne ses propres fonds c'est-à-dire ils sont très “apalancadas”, avec le risque qui supporte cela.
Les familles, dans une situation compliquée par la haute taxe d'arrêt, sont endettées au prix de 904.614 millions, surtout par des prêts hypothécaires. Heureusement, l'euribor se trouve dans des minima historiques et permet de soulager un peu la situation des foyers espagnols. Malheureusement, cette situation ne durera pas beaucoup puisque l'économie européenne semble commencer à être récupérée (avant que l'espagnole) et les taux d'intérêt recommenceront à s'élever, en payant les foyers espagnols les conséquences travers de plus grands intérêts hypothécaires.
Finalement, les Administrations publiques, qui avaient joui d'un excédent confortable dans les années passées, ont déjà dans son contre 450.000 millions d'euros, après avoir émis une dette pour écouter ses frais les plus immédiats, et fondamentalement les plans de stimulation fiscale á côté des aides aux chômeurs et aux secteurs les plus affectés par la crise. Par ci-mentionnées des raisons, la dette publique a passé des 432.000 millions en 2008 aux 561.000 millions, en arrivant aux niveaux qui peuvent devenir inquiétants et par hasard déstabiliser l'économie.
Une image soumise à une permission creative commons de bachmontRelated posts :
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