Le Mexique et le Banque mondiale parient par l'environnement

Le Mexique a l'une des plus fortes économies du monde. C'est l'un des pays les plus industrialisés et avec une forte incidence le terrain environnemental, bien qu'égal il applique des lignes d'action pour soigner l'environnement. Maintenant le Banque mondiale a décidé d'appuyer le gouvernement de Felipe Calderón dans cette gestion, en le prêtant une millionnaire suprême d'argent.

Le gouvernement du Mexique continue de travailler derrière sa responsabilité avec l'environnement. Et bien que ce n'est pas un travail de courte durée, son combat au changement climatique a été reconnu pour l'Organisation des Nations Unies (ONU). L'organisme international a décoré le gouvernement aztèque du prix “Plus le Mexique dans Nations Unies, Plus de Nations Unies au Mexique 2009”.

Et voilà qu'il semble que ce pays ne se conforme pas seulement à cela. Aux dernières heures, elle a pris l'état public, la décision du Banque mondiale d'appuyer le Mexique dans les politiques que le gouvernement mettra en application pour aider à l'environnement.

L'organisme financier a accordé un prêt de 1.504 millions de dollars le gouvernement du Mexique, comme a informé le site Web du BM, qui a ajouté que ce capital sera complètement destiné au développement de politiques publiques pour stimuler l'économie et pour fortifier, à long terme, une croissance amiable avec l'environnement. Dans d'autres mots, le BM et le Mexique parient à une croissance verte dans le pays latino-américain.

Avec le prêt octroyé, le Banque mondiale appuiera basiquement le cadre de politique pour la réduction d'émissions énergétique dans les secteurs et d'un transport urbain; le cadre d'évaluation et de surveillance pour la réduction d'émissions dans un transport et une énergie; et l'établissement de mécanismes financiers qui facilitent la réduction d'émissions dans un transport et une énergie, il a publié un web.

Est-il possible d'obtenir cet objectif ? Le propre Banque mondiale répond à cette question à travers du rapport “le Mexique : l'étude de la diminution d'émissions de carbone”, connu aussi avec les initiales MEDEC, qui exprime catégoriquement qu'est possible une croissance verte dans le pays aztèque, si se suivent des dizaines de directions pour réduire les émissions de CO2.

Une image soumise à permission CC

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